Garder l’équilibre et avancer
Quand bien même le chemin
Semble des fois escarpé.
Il n’y a pas de certitude qui vaille
Il n’y a de pérenne que le goût de l’imprévu
Il n’ya de vrai que l’odeur du feu ardu
Des instants inopinés qui nous ramènent
À la vérité.
Celle d’une quête désespérée
Qui bute et rechute
Comme un enfant aux premiers pas
Vers la vie,
Contre ce qui nous surprend
Contre la bassesse l’âme s’élève
En s’écorchant, en se dévidant
Et à chaque pierre retorse
Chaque avanie belliqueuse
S’arriment les ailes des oiseaux
À l’espoir d’un monde de paix,
Libérés de leurs cages.
Il n’ya que la vérité du libre arbitre
Qui vaille la peine d’être vécue.