Ocre fine pluie Montesquieu
Je déambule à cloche pied
Aux bourgeons de chair humaine
Ai-je dévoré le chat d’Egypte ?
O célestes basses-cours charnelles
Peut-être me suis-je apprivoisé
Aux syllabes de mondes fantasques
Soleil bas fruits de cassis
Il me reste quelques éternités de vies
Et je m’abreuverai de philosophies
Apocalyptiques
J’entends au loin ces chats de Vénus
Miaulant leurs déraisons
Aucun orage ne pourra assombrir
Cette géographie voluptueuse…
