Il traîne au Mont Venus comme une odeur de poudre,
La ruelle la plus sombre se cache dans le noir,
Tout est calme et secret, sommeille un peu la foudre,
Dans la moiteur du soir, tiédeur de son boudoir.
–
L’air chaud qui se soulève ressemble à une caresse,
Que les dieux ont soufflé, envoyé comme un char,
Pour faire tomber les murs, fêler la forteresse,
Et que le sang mêlé ait raison du hussard.
–
Les voies de l’amour sont-elles impénétrables,
Quand le cœur, la raison se battent à coup de glaives ?
La question en suspend ne brûle que sur les lèvres
Du mont Venus en fait, qui est si vulnérable,
–
Que les dieux dans le ciel s’amusent de son tourment.
Les poèmes chics

Dunes Désert de Merzouga
Des rimes d’une rare richesse ! Voudriez vous discuter de quelque sujet ? Je fais référence à mon dernier article, si vous pouviez y jeter un oeil 😉. Je vous remercie déjà, pour votre lecture et pour la beauté de vos posts !
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