

L’été dernier, j’avais lu un excellent polar, publié chez Gallmeister.
“Trente jours d’obscurité” de Jenny Lund Madden. (Vous pouvez retrouver le coup de cœur sur mon site(https://www.sab-en-live.fr/) ou sur mon profil Facebook le 7 août 2022.)
À mon retour de vacances, j’ai enregistré une mise en bouche du roman, j’ai rendu le livre à la bibliothèque, puis j’ai rangé ce dossier parmi tant d’autres.
Aujourd’hui, étant occupé à me reposer et surtout reposer ma voix, je fais du tri.
Et je retrouve cet enregistrement, j’écoute, je monte et du coup je partage.
Et c’est incroyable (oui bon je concède le mot est certainement trop fort, mais mes émotions sont un peu exacerbées en ce moment) dès le début l’autrice fait référence à deux sujets qui me préoccupent grandement (qui trouvera les deux sujets ?) et évidemment ce bouquin raisonne en moi et alors je me souviens, je vis de nouveau les aventures des protagonistes, je voyage vers de lointains horizons et j’aime.
J’aime me souvenir de ce roman, de l’instant où je l’ai lu, des émotions qu’il m’a procurées, du temps qu’il faisait, de là où j’étais et des pages qui se sont décollées de la couverture à cause de l’extrême chaleur.