Lorsque tu crois que je ne te regarde pas,
Ton déhanché après une gorgée de Gin,
Sans rien me dévoiler de tes jolis appas,
Tu danses fesses moulées dans un jean.
***
Heureux de ta gaieté me vient un sourire,
Pourtant à l’esprit surgissent bien des choses,
De celles qui, peut-être, te feraient rougir,
Prends du plaisir en m’offrant l’apothéose.
***
Je te dis que tu es belle, rien tu n’en crois,
Tu es pour toujours ma huitième merveille,
Tu me portes aux nues mon amour s’accroît,
Mon cœur époustouflé toujours sur toi veille.
***
Je te rejoins, on s’esclaffe tel qu’autrefois,
Mon coup d’œil gourmand plongé dans tes yeux ambre,
Je te fais tournoyer encore deux, trois fois,
Tu ris lorsque je t’emporte dans la chambre. …
