Julius C’anar Cauchois -À Vingt-sept ans tapant…

Saute-mouton sur mes maux
À moteur de sauts d’énergie
Ne tenant jamais en place
Démoniaque qui fait mal
Et si je devais oublier Sont les
Mémos aux machiavéliques pics
Les ondes percutant mes
Plaies profondes
Qui ne cicatrisent jamais
Subissant des cratères
Dans les cratères
En salivant du sang
Sur chaque crêtes salées
S’unissant chaque soir de cimetière
Quand les fêtards y sautent le mur
S’abreuvant du vent de chants et de bières
Sur les dalles funéraires des
Illustres chanteurs morts
À Vingt-sept ans tapant

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