Catherine Boissaye -Rencontre


Une rue perdue dans le temps
Où les souvenirs soupirent
Après la vie d’ici, bien avant
Que le nouveau monde expire.

Oh ! Seulement voir une lueur
Percer dans les ténèbres,
Sortir de cette sombre peur,
Etouffer les chants funèbres.

Et leur coeur errant
S’enfonce dans le néant,
Cherchant la lumière
Un flash, un simple éclair

D’un seul regard il fut conquis
Et, se noyant dans ces yeux,
Il se sentit totalement soumis.
Pauvre, transi, mais amoureux.

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