Anne Perrin – et l’humaine condition d’aimer.

Croire en la durée
dans le frémir
imaginer l’autre
en soi

Longue permanence
des indicibles
la perte des repères
abolit les engouements

S’ouvrir pour offrir
de quoi rêver sans doute
et pourtant ça tourne
en vertige

Seule la tendresse
a de beaux jours
dans la finesse
des partages sincères

Libre coeur
mouvement des mondes

une chatoyante lumière

et l’humaine condition
d’aimer.

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