Un jour, un poème – Grady de Christine

des fumées légères -d’un autre monde-

colorent ces nuages insolites,

qui ensorcelent l’horizon lointain

en offrandes consolantes;

c’est le souffle invisible des Fées,

comme la brise du morin khuur,

dans les yeux éphémères du couchant.

alors je me perds au milieu du dessin.

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